L’ampleur du déficit du commerce extérieur de la France a conduit les pouvoirs publics à engager plusieurs actions pour développer la capacité de nos entreprises à l’export. Le ministère du commerce extérieur axe désormais sa stratégie sur une offre associant biens d’équipements, produits destinés aux consommateurs et services, répartie autour de quatre secteurs : la santé, l’agroalimentaire, les nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) et la ville durable. La Direction générale du Trésor, l’Agence française pour les investissements internationaux, UBIFRANCE, la COFACE, les 107 Chambres de Commerce et d’Industrie Françaises à l’Etranger (CCIFE) accompagnent les entreprises dans leur développement international en s’appuyant sur les dispositifs publics d’appui à l’export et à l’internationalisation.

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Les 19 000 experts-comptables répartis sur le territoire national sont les premiers partenaires des deux millions d’entreprises qui leur font confiance. Ils partagent avec elles leurs ambitions et leurs difficultés. Ils sont à leurs côtés pour les conseiller, les sécuriser, les aider à trouver des financements, leur permettre d’anticiper.

C’est pourquoi le Conseil Supérieur de l’Ordre a mené une réflexion sur la densification de notre tissu économique par la détection et l’accompagnement des « entreprises à potentiel ». Il y a là une réelle opportunité de création de valeur, de richesse et donc d’emplois, pour notre pays. Cette réflexion se veut en parfaite cohérence avec la mission de coordination conduite par  René Ricol et s’inscrit dans le prolongement du colloque organisé sur son initiative le 8 mars dernier à Bercy dans le but de mobiliser notre Profession sur les dispositifs publics de soutien aux entreprises.[1]
 
 
Développer les entreprises à potentiel : un levier de croissance majeur
Au cours de la dernière décennie, les initiatives gouvernementales pour stimuler la création d’entreprises ont porté leurs fruits, et une véritable dynamique entrepreneuriale s’est instaurée, comme en témoignent les 550 000 entreprises créées en 2011 (contre moins de 200 000 ans au début des années 2000).

La capacité des « entreprises à potentiel » à tenir leurs promesses en termes de croissance et d’emplois  constitue un indicateur de performance économique dont chacun comprend l’importance dans un contexte de compétition globale intense et de crise. Il s’agit-là, très probablement, de l’un des plus puissants leviers de croissance à mobiliser pour les années à venir. C’est la condition nécessaire pour développer les marchés des entreprises françaises à  l’exportation et leur donner des armes face à la concurrence internationale sur le marché intérieur. C’est la voie économiquement cohérente pour non seulement maintenir, mais mieux développer l’emploi.
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Signature d’un accord de partenariat entre le CSOEC représenté par sa présidente Agnès Bricard et le GIP-MDS représenté par son président Eric Hayat

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Les objectifs de croissance ont été certes revus à la baisse, mais ils devraient normalement nous éviter la perspective du risque d’une nouvelle récession. S’ils ont connu une forte baisse, les marchés, très volatils, ont connu depuis des rebonds.

Il ne faut pas pour autant se montrer angélique et la rentrée s’annonce délicate. Moins pour nos grands groupes, très internationalisés et bien implantés dans les pays émergents, qui sont, eux, en forte croissance. Les prévisions de bénéfice des firmes françaises de premier plan témoignent de cette bonne résistance.

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