Visualiser la newsletter Le monde du Chiffre du 6 Septembre 2016

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Alors que l’échéance réglementaire approche, les entreprises semblent moins mobilisées : les taux de progression des femmes administratrices se sont tassés au cours de l’année dernière, pointe l’Afeca.

Selon une étude récente (1) menée par l’ Afeca (2), il manquerait encore plus de 600 administratrices pour qu’Euronext atteigne le seuil de parité exigé au 1er janvier prochain par la loi Copé-Zimmerman, « relative à la représentation équilibrée des femmes et des hommes au sein des conseils d’administration et de surveillance et à l’égalité professionnelle ». Cette loi de janvier 2011 prévoit en effet que les Conseils d’administration des entreprises moyennes ou grandes soient composés « en recherchant une représentation équilibrée des femmes et des hommes », imposant 40 % de femmes dans les conseils d’administration des entreprises cotées (sur un marché réglementé), mais aussi non cotées dès lorsqu’elles comptent plus de 500 salariés et affichent un chiffre d’affaires ou un total de bilan supérieur à 50 millions d’euros (le seuil a été abaissé aux entreprises de plus de 250 salariés à l’échéance de 2020).

Si la place des femmes a fortement progressé au cours de dernières années, pour atteindre plus de 30% (32,04%) dans les grandes entreprises, et autour de 26% dans les Mid et Small Cap, l’étude relève que la proportion de femmes tombe à 16,33% dans les conseils d’aministration des entreprises cotées sur Alternext (pas concernées par la loi à ce jour). Mais l’étude relève aussi un ralentissement de la progression dans les structures les plus petites : 5% de progression en 2016 pour 8,5% en 2015 dans les Mid Cap, 8,1% contre 16,7% dans les Small cap.

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La petite question « naïve » d’un journaliste à une experte est un symptôme du mépris persistant pour les femmes dans l’information.

J’ai beau militer pour une meilleure représentation des femmes dans les médias depuis que j’ai une carte de presse, j’ai beau batailler depuis six ans pour essayer d’imposer Les Nouvelles NEWS comme le seul journal alternatif au sexisme ordinaire des médias, je ne peux m’empêcher d’être très en colère lorsqu’un confrère présente une femme avec un mépris dégoulinant.

Source lesnouvellesnews.fr

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L’Association des Centraliens regroupe l’ensemble des élèves et anciens élèves de l’Ecole Centrale Paris, préparant ou ayant obtenu le diplôme d’ingénieur ou l’un des autres diplômes délivrés par cette l’Ecole Centrale Paris, ainsi que les élèves et diplômés de l’école CentraleSupelec. Elle a été créée en 1862 et a été reconnue d’utilité publique par décret en 1867. Elle est à but non lucratif.

Son activité s’accomplit au moyen de publications, de communications, de manifestations: la revue « Centraliens » diffuse des articles et dossiers techniques d’actualité, les groupements professionnels organisent régulièrement des rencontres avec des personnalités du monde industriel et économique, les « Entretiens de la Technologie », ouverts aux entreprises de toutes dimensions et de tous secteurs d’activités, concourent à la promotion de l’innovation et à l’essor des transferts de technologie, etc… […]

Pour plus d’informations : association.centraliens.net

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Anne-Cécile Mailfert, ancienne porte-parole d’Osez le féminisme, lance jeudi la Fondation des femmes, destinée à récolter des fonds auprès des institutions privées et des particuliers. L’argent sera ensuite redistribué à des associations. Une souscription mensuelle de 8 euros par mois sera lancée dès le 8 mars.

Les associations qui œuvrent pour les droits des femmes se comptent par dizaines en France. Pour l’égalité professionnelle, l’insertion, contre les violences faites aux femmes, contre l’exclusion, les mutilations sexuelles, l’isolement… Mais toutes n’ont pas la culture du lobbying. Bien souvent, le bénévolat reste le carburant principal de leur mission. Les associations demandent peu d’argent, réclament et exigent rarement. Les directeurs de com’ et les financiers pointus rôdent – en général – peu dans leurs quartiers. […]

Consulter l’article complet sur madame.lefigaro.fr

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